Les Harkis – Philippe FAUCON – -12 ans – 19:22 (France)
Avant-premièreAfrique
Cinéma le Patio
Fin des années 1950, début des années 1960, la guerre d’Algérie se prolonge. Salah, Kaddour et d’autres jeunes Algériens sans ressources rejoignent l’armée française en tant que harkis avec, à leur tête, le lieutenant Pascal. Quand l'issue du conflit laisse prévoir l'indépendance prochaine de l'Algérie, le sort des harkis paraît très incertain. Pascal s’oppose à sa hiérarchie pour obtenir le rapatriement en France de tous les hommes de son unité.
« Des tableaux sobres, précieux, racontent frontalement la torture, les exécutions sommaires. La guerre fratricide entre Algériens a commencé. Théo Cholbi incarne un lieutenant attaché à ses hommes, supportant de moins en moins de devoir leur mentir : la vérité, en 1962, c’est que l’armée française s’apprête à quitter le pays et va désarmer les harkis. […] Philippe Faucon réussit à faire exister un collectif, mais s’attache aussi à chacun de ses personnages, avec sa famille, ses dilemmes, sa révolte, ses angoisses. » Clarisse Fabre, Le Monde, 21 mai 2022
La femme du fossoyeur – Khadar AHMED – 11:27 (Somalie)
Afrique
Cinéma Voltaire
Guled et Nasra sont un couple amoureux, vivant dans les quartiers pauvres de Djibouti avec leur fils Mahad. Cependant, l’équilibre de leur famille est menacé : Nasra souffre d’une grave maladie rénale et doit se faire opérer d’urgence. L’opération coûte cher et Guled trime déjà comme fossoyeur pour joindre les deux bouts : comment réunir l’argent pour sauver Nasra et garder une famille unie ?
« Un premier film émouvant et empathique. C’est ce que peut le meilleur cinéma populaire : ce genre de mélodrame sans affectation, où les sentiments valeureux – le courage, la peine, l’acharnement du destin – transcendent l’homme, la femme, l’enfant. » Libération
A Ferney-Voltaire et à Gex, en présence du réalisateur Khadar Ayderus Ahmed.
La femme du fossoyeur – Khadar AHMED – 22:27 (Somalie)
Afrique
Cinéma le Patio
Guled et Nasra sont un couple amoureux, vivant dans les quartiers pauvres de Djibouti avec leur fils Mahad. Cependant, l’équilibre de leur famille est menacé : Nasra souffre d’une grave maladie rénale et doit se faire opérer d’urgence. L’opération coûte cher et Guled trime déjà comme fossoyeur pour joindre les deux bouts : comment réunir l’argent pour sauver Nasra et garder une famille unie ?
« Un premier film émouvant et empathique. C’est ce que peut le meilleur cinéma populaire : ce genre de mélodrame sans affectation, où les sentiments valeureux – le courage, la peine, l’acharnement du destin – transcendent l’homme, la femme, l’enfant. » Libération
A Ferney-Voltaire et à Gex, en présence du réalisateur Khadar Ayderus Ahmed.
Au milieu des figuiers, pendant la récolte estivale, de jeunes femmes et hommes cultivent de nouveaux sentiments, se courtisent, tentent de se comprendre, nouent – et fuient – des relations plus profondes.
Le dernier refuge – Ousmane SAMASSEKOU – 22:35 (Mali)
Soirée PartenaireAfrique
Cinéma Voltaire
À Gao, ville malienne à la frontière avec l’Algérie, les migrants qui veulent traverser le Sahel croisent ceux qui en reviennent. Le carrefour de destins en sursis.
Il y a dans Le Dernier refuge cette patience, cette empathie, cette tendresse qui ne s’invente pas et qui fait qu’on n’oublie pas ces êtres qui doivent décider s’ils tentent l’aventure. Olivier Barlet
Des hommes libres – Taghzout GHEZALI – 13:05 (Algérie)
Soirée PartenaireAfrique
Bio Carouge
Ce film biographique en hommage à Kateb Yacine, retrace la vie de ce grand écrivain et les événements marquants de son existence, à travers les témoignages de son fils, le musicien Amazigh Kateb, de ses proches et de ses œuvres.